infos
album
liens
TRAIN DE NUIT POUR CHIANG MAI
Et voilà, on a plié bagages direction Chiang Mai. On dit au revoir à nos amis 
et prenons un taxi qui nous dépose à la gare de Bangkok. Nous avons réservé des couchettes (561 baths pour celles du bas et 491 baths, celles du haut), dans un wagon de deuxième classe, avec ventilo et dans le train le plus rapide. Il part à 19h40 et arrive à 9h le lendemain !!! Juste 13h20 pour faire 700 kms. On a compris pourquoi après, il s'arrête n'importe où, n'importe quand ! Le temps de manger un morceau et on se dirige vers les voies. La gare est petite par rapport à la taille de la ville (une dizaine de voies seulement). On trouve donc notre train sans problème. On monte et on s'installe. Premières impressions : c'est assez crasseux, on se demande comment ça peut encore rouler et si tout va bien se passer. On démarre (he bien oui, ça peut encore rouler !!) les portes restent ouvertes, après quelques kilomètres, on aperçoit des bidonvilles et des gens entassés qui vivent dans des maisons en bois, pour la plupart, qui tiennent debout on ne sait comment, et tout près des rails. Des enfants et des chiens jouent sur les voies ferrées en riant et en continuant de nous asperger d'eau, Songkran n'est pas encore finie. On a vu les côtés pathétiques de Bangkok. Les thaïs montent en marche pour nous vendre de l'eau, de la bière, des plats… et redescendent à l'arrêt suivant (dur de gagner sa vie), c'est un défilé permanent (on ne risque pas de mourir de soif ni de faim).
et prenons un taxi qui nous dépose à la gare de Bangkok. Nous avons réservé des couchettes (561 baths pour celles du bas et 491 baths, celles du haut), dans un wagon de deuxième classe, avec ventilo et dans le train le plus rapide. Il part à 19h40 et arrive à 9h le lendemain !!! Juste 13h20 pour faire 700 kms. On a compris pourquoi après, il s'arrête n'importe où, n'importe quand ! Le temps de manger un morceau et on se dirige vers les voies. La gare est petite par rapport à la taille de la ville (une dizaine de voies seulement). On trouve donc notre train sans problème. On monte et on s'installe. Premières impressions : c'est assez crasseux, on se demande comment ça peut encore rouler et si tout va bien se passer. On démarre (he bien oui, ça peut encore rouler !!) les portes restent ouvertes, après quelques kilomètres, on aperçoit des bidonvilles et des gens entassés qui vivent dans des maisons en bois, pour la plupart, qui tiennent debout on ne sait comment, et tout près des rails. Des enfants et des chiens jouent sur les voies ferrées en riant et en continuant de nous asperger d'eau, Songkran n'est pas encore finie. On a vu les côtés pathétiques de Bangkok. Les thaïs montent en marche pour nous vendre de l'eau, de la bière, des plats… et redescendent à l'arrêt suivant (dur de gagner sa vie), c'est un défilé permanent (on ne risque pas de mourir de soif ni de faim).
Cliquez Quand on est fatigués, on demande au contrôleur de nous installer les couchettes. Un employé nous fait notre lit et isole chaque couchette par un rideau. Assez cocasse. Un conseil, évitez les couchettes du haut, elles sont plus étroites et surtout il n'y a pas d'air qui circule, même avec le ventilo, c'est l'étuve. Ce soir là, on a fait la connaissance d'Hector, un mexicain, voyageant seul et qui fera un petit bout de route avec nous. On arrive à s'endormir malgré le méga bruit du train et les mégas secousses et quand on se réveille, le paysage à changé :
Cliquez
alternance de forêts et de terres cultivées, beaucoup de maison en bois. Nous sommes dans le Nord. Il est 9h du matin, nous arrivons enfin à Chiang Mai, plus grande ville de la Thaïlande du Nord et la deuxième après Bangkok.
